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		Besançon : L'énergie du désespoir
A jouer la carte de la politesse, il n'avait rien à perdre… mais n'aura rien eu à gagner non plus. Tel est l'amer constat auquel a été confronté lundi soir à Besançon le braqueur d'une épicerie du quartier Bregille, désireux que lui soient remis si possible « quelques billets »  « pour nourrir [sa] femme et [ses] enfants ».
Appuyé par un « s'il vous plaît », son appel, exprimé sous la forme d'une interrogation plaintive, aura bien demandé quelques secondes de réflexion à la gérante, qui, en dernier recours, avait été d'avis de solliciter celui de son mari. Et ce n'est donc qu'après concertation que le couple, bien désolé de ne pouvoir accéder à cette requête, avait finalement orienté leur "agresseur" du côté du commissariat pour y trouver de l'aide.
N'insistant pas davantage, c'est sur ce conseil que l'homme au visage partiellement dissimulé sous un foulard avait alors quitté les lieux. Sans même avoir cherché à contre-argumenter au moyen du couteau qu'il tenait par ailleurs entre les mains…
C.R
				
				Appuyé par un « s'il vous plaît », son appel, exprimé sous la forme d'une interrogation plaintive, aura bien demandé quelques secondes de réflexion à la gérante, qui, en dernier recours, avait été d'avis de solliciter celui de son mari. Et ce n'est donc qu'après concertation que le couple, bien désolé de ne pouvoir accéder à cette requête, avait finalement orienté leur "agresseur" du côté du commissariat pour y trouver de l'aide.
N'insistant pas davantage, c'est sur ce conseil que l'homme au visage partiellement dissimulé sous un foulard avait alors quitté les lieux. Sans même avoir cherché à contre-argumenter au moyen du couteau qu'il tenait par ailleurs entre les mains…
C.R
Publié le mercredi  9 octobre 2013 à 10h36
			



